Approfondissez la réflexion sur la terre vive et son intégration dans la stratégie RSE, avec des pistes concrètes pour les responsables RSE.
Vers une terre vivante : renforcer la responsabilité sociale de l’entreprise

Comprendre la notion de terre vive dans la stratégie RSE

La « terre vive » : bien plus qu’un concept RSE

Dans le contexte actuel où la préservation de la vie sur notre planète devient urgente, intégrer la notion de « terre vive » au cœur de notre stratégie RSE s’impose comme une évidence. Ce concept va au-delà d’une simple préoccupation environnementale : il invite chaque coopérative, chaque entreprise, chaque adhérent et chaque enfant de nos territoires à repenser leur rapport aux terres et aux espaces naturels.

L’idée de « terre vive » repose sur l’interdépendance entre la vitalité des sols, la santé des forêts, des parcs, des ateliers, et la prospérité à long terme de nos activités économiques et sociales. C’est ici que la démarche RSE prend toute sa valeur : elle nous pousse à remettre la vie au centre de chaque projet, de chaque plan d’action, du centre de ressourcement jusqu’aux opérations de collecte ou de gestion de la coopérative.

  • Valoriser la terre comme « espace vivant » et ressource partagée
  • Déployer des parcours d’éducation (cours, stages, ateliers) pour sensibiliser les enfants et adhérents aux enjeux de la terre vive
  • Impliquer les parties prenantes dans la préservation de l’équilibre écologique de nos terres vives

La dynamique « terres vives » implique également de penser la gouvernance, les indicateurs et la communication autrement : c’est l’esprit même d’une coopérative engagée. Des initiatives telles que celles portées par Coopérative Euralis ou d’autres centres de ressourcement illustrent l’émergence d’une vision collective ambitieuse. La gestion durable des espaces (forêts, parcs, champs) grâce à des contrats responsables, la multiplication d’activités pour tous – de la formation à la collecte – permettent d’ancrer la RSE dans la réalité du terrain.

Ainsi, la notion de « terre vive » trouve toute sa place sur les réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn, favorisant l’échange de bonnes pratiques au sein des réseaux sociaux spécialisés. C’est un appel à réunir la communauté autour de valeurs communes et vers un futur où la terre reprend ses droits.

Pour approfondir l’importance cruciale de l’engagement RSE face aux défis écologiques, découvrez un éclairage complémentaire sur l’impact écologique des entreprises.

Identifier les enjeux spécifiques pour les responsables RSE

Composer avec les défis concrets des terres et espaces vivants

La responsabilité sociale de l’entreprise a pris une dimension essentielle avec la nécessité de préserver la « terre vive » au sens large. Les responsables RSE font aujourd’hui face à divers enjeux liés à la gestion des terres et à la vitalité des espaces naturels, qu’il s’agisse de parcs, de forêts ou de zones agricoles exploitées par une coopérative. Ces sujets englobent à la fois l’éthique, l’efficacité économique et l’importance de laisser un héritage viable aux générations futures, notamment aux enfants. Les défis principaux sont souvent amplifiés pour les entreprises du secteur agroalimentaire, des coopératives ou pour toute structure impliquée dans la collecte ou la transformation agricole. Les activités doivent se concilier avec la préservation écologique, et chaque projet sur la terre doit être pensé en termes d’impact global de la vie, du ressourcement terre et de la régénération. Les initiatives telles que l’organisation d’ateliers d’échanges avec les adhérents, les stages de formation autour de la gestion des terres vives ou la création d’un centre de ressourcement de la terre, peuvent favoriser l’émergence de pratiques responsables, en même temps qu’elles fédèrent l’engagement collectif au sein de l’espace coopératif.

Points névralgiques à prendre en compte pour les responsables RSE

  • Comprendre l’impact de chaque action sur l’intégralité du cycle de vie des terres vives.
  • Anticiper les attentes des parties prenantes : adhérents, coopérative, filières, collectivités, enfants et familles vivant à proximité.
  • Intégrer les dimensions de biodiversité, adaptation au changement climatique et préservation de la vie des sols dans chaque plan ou projet.
  • Coordonner la gouvernance des espaces entre secteur coopératif, acteurs de l’économie sociale, et organes de régulation de type Euralis Coop ou autres.
  • Valoriser les actions menées sur différents canaux : réseaux sociaux, ateliers publics, plateformes coopératives.
Les responsables RSE doivent prêter attention aux engagements contractuels (par exemple via les contrats coopératifs Euralis) et aux cours stages proposés aux adhérents pour insuffler une culture de la terre vivante. Grâce à un suivi régulier, ces enjeux deviennent le cœur du projet coopératif, où la forêt, le parc ou tout espace vivant sont valorisés comme ressources à préserver dans une optique de long terme. Enfin, face à la pression réglementaire et sociétale, il est crucial de développer une analyse de l’impact écologique des entreprises. Pour aller plus loin sur ce point, explorez comment l’impact écologique des entreprises devient un enjeu crucial en RSE. Cela contribue à inscrire durablement ces démarches dans la trajectoire des coopératives et des sociétés engagées vers une terre véritablement vivante.

Mettre en place des indicateurs pertinents pour la terre vive

Définir la mesure de l’impact de la terre vive dans son projet RSE

La mise en place d’indicateurs pertinents pour la terre vive exige de clarifier les liens entre activités de l’entreprise, terres gérées, et objectifs de vie et de ressourcement. Il est essentiel d’intégrer aussi bien des indicateurs quantitatifs que qualitatifs, afin de refléter l’impact global de la stratégie.
  • Surface et qualité du parc et des espaces naturels : suivis annuels des terres vives en exploitations ou gérées par la coopérative (par exemple, Euralis), évaluation du taux de biodiversité, analyse des sols et suivi des plans de forêt régénérative.
  • Nombre et diversité des activités : ateliers pédagogiques pour enfants, cours et stages de reconnexion à la nature, taux d’adhérents participant aux programmes de ressourcement terre ou aux événements de sensibilisation.
  • Collecte et valorisation des retours de parties prenantes : satisfaction des participants, engagement des membres de la coop, implication des partenaires dans la vie de l’espace naturel ou du centre de ressourcement terre.
  • Suivi des engagements contractuels : taux de conformité aux euralis contrats et respect des engagements auprès des adhérents sur la gestion durable des terres vives.
  • Communication et reconnaissance : visibilité sur les réseaux sociaux LinkedIn, interactions sur les publications relatives aux terres vives, partages d’initiatives sur les canaux sociaux de la coopérative euralis.
Un tableau de suivi peut s’avérer utile pour compiler ces indicateurs :
Indicateur Source Périodicité Responsable
Surface protégée Rapports internes coopérative Annuel Responsable RSE
Nombre d’activités terrains Calendrier des ateliers, cours, stages Trimestriel Service communication
Biodiversité forestière Études écologiques Bisannuel Responsable environnement
Taux d’implication des adhérents Enquêtes de satisfaction Semi-annuel Equipe animation coop
Enfin, pour renforcer la fiabilité et la crédibilité de votre démarche, il est pertinent de s’inspirer des référentiels exigeants tels que la labellisation RSE comme Lucie 26000. Ce type d’approche permet de structurer la mesure et de démontrer l’engagement de l’entreprise envers la protection des terres vives, en cohérence avec le cœur de la stratégie RSE.

Impliquer les parties prenantes dans la préservation de la terre vive

Mobiliser les acteurs autour de la préservation de la terre vive

La réussite d’une démarche RSE axée sur la terre vive passe par l’engagement de toutes les parties prenantes, aussi bien internes qu’externes. Cette dynamique implique de réunir au cœur du projet les salariés, adhérents, membres de la coopérative, partenaires et communautés locales. Créer un espace d’écoute et d’expression garantit une meilleure compréhension des enjeux liés aux sols vivants et à la biodiversité qui en dépend.
  • Organisation d’ateliers participatifs pour identifier les attentes et priorités de chacun autour de la préservation des terres vives ;
  • Mise en place de temps de sensibilisation (cours, stages, visites de forêts, découvertes de parcs locaux…) afin de renforcer la culture commune sur la gestion des terres et le ressourcement ;
  • Ouverture à l’accueil de groupes d’enfants ou d’écoles pour ancrer la notion de terre vive dès le plus jeune âge ;
  • Favoriser l’implication de la coopérative et des collectifs à travers des projets collaboratifs (collectes citoyennes, entretien d’espaces naturels, aménagement de centres de ressourcement terre…)
Avec l’appui d’organisations comme Euralis, qui valorisent les contrats coopératifs respectueux de l’environnement, il est possible de structurer une gouvernance ouverte, solidaire et pérenne. Cette interconnexion entre acteurs s’illustre par des initiatives locales : relier la gestion des terres au bien-être des adhérents, offrir des activités pédagogiques sur l’importance du sol vivant, ou encore développer de nouveaux projets collectifs axés sur le maintien de la vie des sols. L’animation régulière sur les réseaux sociaux (notamment LinkedIn) contribue à la diffusion des bonnes pratiques, à la motivation des parties prenantes et à la valorisation des réussites du plan RSE. En engageant la communauté, la coop encourage l’ancrage durable du concept de terre vive dans chaque parc, chaque espace et chaque projet au cœur de l’entreprise.

Adapter la gouvernance pour intégrer la terre vive

Refondre la gouvernance pour intégrer l'esprit terre vive

Intégrer pleinement la terre vive dans la gouvernance de l'entreprise demande un vrai changement de cap. Les responsables RSE sont souvent confrontés à la nécessité de transformer les modes de décision et d’impliquer activement les parties prenantes à tous les niveaux. La gouvernance traditionnelle ne suffit plus. Aujourd’hui, il s’agit de mettre la vie, la santé des terres, des forêts, des espaces partagés, au cœur des plans stratégiques. Pour cela, diverses pratiques émergent et s'articulent avec efficacité dans la démarche coopérative ou en entreprise :
  • Création de comités RSE terrains : intégrant des adhérents, des représentants de coopératives (notamment des structures comme Euralis Coop ou Terres Vives), des salariés et parfois même des enfants pour des ateliers pédagogiques autour de la préservation des sols.
  • Déploiement de « centres de ressourcement terre » ou partenariats locaux : points d'ancrage pour partager expériences et meilleures pratiques avec la communauté, renforcer le dialogue et organiser des stages sur la biodiversité ou la gestion de parc forestier.
  • Adaptation des contrats coopératifs (Euralis Contrats, par exemple) afin de prioriser des pratiques agricoles durables, et de fixer des objectifs précis de préservation des terres vives avec des indicateurs transparents.
Miser sur la transversalité, c’est aussi encourager l’échange entre services : ressources humaines, production, collectes agricoles ou encore équipes en charge des activités en espace naturel. De nombreux projets lancés dans les coopératives s’appuient sur cette logique interdisciplinaire pour garantir un ressourcement réel et pérenne. En favorisant la co-construction, la remontée d'idées du terrain jusqu’à la direction et l’exemplarité du conseil d’administration, la gouvernance évolue vers plus d’agilité et de résilience. Les réseaux sociaux, LinkedIn ou autres, mais aussi des événements internes (cours, stages, ateliers), contribuent à cette dynamique collective en valorisant les avancées. Au final, cette démarche positionne la terre – et la vie qui y vibre – comme levier central du projet d’entreprise. C’est aussi un vrai facteur de cohésion pour mobiliser les collaborateurs et renforcer l’adhésion autour des activités de la coopérative ou de toute structure engagée.

Valoriser les résultats et communiquer sur la terre vive

Mettre en lumière les accomplissements de la coopérative et de ses adhérents

Communiquer sur les réussites liées à la terre vive ne signifie pas simplement dresser un bilan d’activités. Il s’agit surtout de mettre en valeur les impacts réels observés sur le terrain : la qualité des terres, la vitalité des espaces naturels, ou la montée en implication des coopératives et de leurs adhérents. La valorisation des projets aboutis, par exemple la création d’un espace de ressourcement terre ou le lancement d’ateliers autour du compost ou de la biodiversité, contribue à fédérer l’engagement collectif — notamment au sein d’initiatives comme la coopérative Euralis ou de programmes de collecte animés dans le parc forestier local.

  • Mettre en avant des réalisations concrètes issues du plan d’action (restauration de terres vives, résultats des stages pratico-pratiques, occupation intelligente des terres vives par des enfants lors d’activités pédagogiques, etc.)
  • Organiser régulièrement des ateliers et moments d’échange pour partager des retours d’expérience et co-construire de nouveaux projets
  • Parcourir, lors de réunions coop, les résultats chiffrés et la progression des indicateurs établis plus tôt

Renforcer la transparence sur les résultats : transmettre la vie de la terre

La communication responsable passe par une transparence accrue envers les acteurs internes (adhérents, salariés Euralis contrats, organes de décision) comme externes (collectivités, partenaires, forums sociaux LinkedIn). L’objectif : partager l’évolution de la terre vive, documenter la revitalisation de la foret ou la dynamique du centre de ressourcement, sans surpromesse ni greenwashing.

  • Diffuser des comptes rendus réguliers sur les réseaux sociaux professionnels (notamment LinkedIn), à travers des chiffres-clés sur la vie des terres et les bénéfices pour le collectif
  • Valoriser, via newsletters ou supports internes, les initiatives des adhérents, qu’il s’agisse d’activités ou de parcours de formation (cours stages en lien avec les terres vives)
  • Donner accès au public, par exemple lors de portes ouvertes ou d’ateliers, aux parcelles réhabilitées ou centres de ressourcement terre partenaires

Miser sur la coopération et inspirer de nouveaux projets

Enfin, pour développer une démarche à long terme et susciter de nouveaux élans, il est essentiel de s’ouvrir à l’inspiration externe et à la dynamique intercoopérative. Créer un réseau des terres vives (coopérative Euralis, autres espaces engagés, collectifs environnementaux) permettra d’amplifier la portée de la communication et d’accélérer la diffusion des bonnes pratiques.

Un dialogue ouvert et une valorisation authentique sont toujours au cœur des démarches RSE abouties. Chacune des actions révélées dans la collecte de résultats favorisera, in fine, le ressourcement terre, tout en inspirant la création de nouveaux projets vivants pour la terre — et pour la vie.
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